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Netflix : passion séries turques (1ère partie)

dimanche 28 juin 2020 Samsworld 0 Comments

Plus de 6 mois sans être passée ici, forcément j'en ai eu du temps à consacrer à Netflix ! Entre les longs trajets en RER (pour cela, vive la fonction hors ligne de l'application pour visionner ses épisodes sans coupure) et les weekends de flemme, c'est sans aucune culpabilité et totalement assumé que je vous l'avoue.

Pour changer de mes visionnages habituels (séries américaines, documentaires et quelques films indiens), je me suis mise aux séries turques. Et je n'aurais pas dû tellement c'est addictif !

Si vous ne le savez pas, la Turquie est le 1er producteur et après les Etats-Unis, le 2ème exportateur de séries au monde : au Maghreb, au Moyen-Orient et même en Amérique du Sud, on en visionne partout dans le monde. Pour ce dernier territoire, c'est parce que le format de certaines séries, surtout les sagas familiales ou histoires d'amour compliquées, se rapproche des telenovelas.

J'en ai enchaîné plusieurs ces derniers temps et je peux vous donner mon avis sur celles que j'ai vues sur Netflix. Par contre, pour certaines, va falloir vous accrocher car la longueur est digne d'un long métrage : entre 90 et 120 minutes pour certains épisodes.


The Protector / le Protecteur d'Istanbul (Hakan : Muhafiz)

1ère série turque made in Netflix, c'est tout naturellement que l'application me l'a proposée en guise de découverte, et quelle découverte ! Tirée d'un livre écrit en 2016 (Karakalem ve Bir Delikanlının Tuhaf Hikayesi de Nilüfer İpek Gökdel ), elle raconte l'histoire d'Hakan, un jeune stambouliote qui travaille dans une boutique d'antiquités du Grand Bazaar. De la part d'un ordre secret et ancien, il se voit confier la tâche de protéger la ville d'Istanbul d'un ennemi immortel.


En découvrant le 1er épisode, je me suis dit que j'allais bien accrocher, c'était sûr ! Découvrir la magnifique ville d'Istanbul, ses monuments riches d'Histoire, le Bosphore...je vous avouerais que c'est un peu grâce à elle si j'étais partie la visiter quelques mois plus tard. Faudrait que je vous raconte un jour mon road trip. Mais là n'est pas le sujet du jour...

L'histoire a un petit côté surnaturel et mystique sans en faire trop, cela en devient réaliste parfois. Les scènes de flashback donnent l'impression d'être dans Assassin's Creed tellement l'esthétique et la façon de filmer les plans s'en rapprochent, et on a plaisir à suivre les aventures d'Hakan remplis de rebondissements en tout genre, même si parfois il a un côté tête à claques qu'on aime détester. Heureusement que Zeynep est là pour le remettre sur le droit chemin.

En tout cas, j'ai hâte de visionner la prochaine saison, il me tarde que Netflix la sorte ! Et ce sera dans très peu de temps ;-)


Gönül (Hatırla Gönül)

Après avoir fini la saison 1 de The Protector, Netflix m'avait proposée d'autres séries turques en suggestion. J'ai choisi de visionner celle-ci à cause du pitch de la série assez intrigant et qui dans ma tête faisait très telenovela comme approche et dans sa façon de filmer les scènes.




Créée en 2015, elle raconte l'histoire de Gönül, une jeune infirmière, qui échappe à son chirurgien de fiancé après que son ex a révélé de sinistres secrets. Elle retrouve l'amour, mais un accident de voiture fait tout basculer.
Une série d'une seule saison qui comporte 38 épisodes d'une cinquantaine de minutes chacun en VOSTFR, ce qui m'arrange car j'aime beaucoup les sonorités de la langue turque. J'ai mis peu de temps à la terminer tellement j'étais transportée dans l'histoire de Gönül et ses rebondissements assez farfelues parfois. C'est quand même incroyable tout ce qui lui arrive la pauvre, d'autant plus qu'elle n'a pas eu la vie facile dès le début de sa vie. 

Et vous allez aimer détester Tekin, son fiancé, croyez-moi tellement c'est une crapule, mais tellement aveuglé par son amour démesuré pour Gönül qu'il en perd tout discernement.
Je ne veux pas trop spoiler la série sinon le plaisir serait gâché. Mais si vous aimez les histoires tumultueuses aux rebondissements rocambolesques, je ne peux que vous la conseiller. 

The End (Son)
Avec Son, on rentre dans une série un peu plus psychologique aux antipodes des sagas romantiques ou autres histoires à l'eau de rose. Créée en 2012, cette série a eu tellement de succès qu'elle a été diffusée dans plusieurs pays du globe et que certains pays en ont même achetés les droits pour l'adapter. 

Aylin, architecte,  et son mari Selim chirurgien forment un foyer heureux avec Ömer, leur fils de 7 ans. Mais tout bascule lorsque l'avion de Selim s'écrase en plein vol.
Ahlala, j'ai tellement à dire sur cette série que je ne sais pas par où commencer sans vous spoiler : une histoire qui jongle entre passé et présent - vous verrez que le passé est très présent et permet de comprendre certaines choses concernant les personnages et intrigues - entre Turquie et Iran et dont certains personnages sont tellement complexes qu'on peut leur trouver des circonstances atténuantes ou aggravantes selon leurs actions.
Pour la longueur de la série, une seule saison qui comporte 49 épisodes de 1h30 chacun. Là, on franchit un cap car chaque épisode est conçu comme un mini film. Et encore une fois, malgré la longueur, je n'ai pas mis trop de temps à la terminer tellement l'histoire m'a transportée. Si on n'a pas l'habitude de ce type de format cela peut vite devenir ennuyant.
Parfois, j'ai trouvé que certains épisodes traînaient en longueur comme quelques flashbacks que j'ai trouvé répétitifs, mais vus d'un œil différent selon le personnage qui le raconte, ce qui nous permet tout de même d'accéder à différents points de vue et de comprendre certaines choses.
Malheureusement, je viens de voir que Netflix l'a retiré de son catalogue, ce qui est vachement dommage...
Il y a encore plein d'autres séries turques qui méritent que l'on parle d'elle, mais cela fera l'objet d'un autre article. 
Avec ces 3 premières séries, vous avez de quoi faire, croyez-moi ;-).

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soins

*A, B3 & C : les ampoules "super sérum" signées SVR

mercredi 17 juin 2020 Samsworld 0 Comments

Je vous avais expliqué brièvement ICI qu'aucun lancement beauté ne m'avait transcendée ces 4 derniers mois. Entre temps, SVR a eu la gentillesse de m'avoir envoyée pour test ces nouveaux produits - plus nouveaux à l'heure actuelle :-) : A, B3 et C, 3 ampoules concentrées à utiliser qui répondent à trois problématiques différentes :


- A (Lift) : concentré lissant, retexturisant et anti-rides
- B3 (Hydra) : concentré réparateur, repulpant et anti-rides
- C (Anti-Ox) : concentré éclat, régénérant et anti-rides

N'ayant pas eu le temps et l'utilité de les tester dès leur réception - et puis, j'étais en plein déménagement et le colis était arrivé à mon ancien travail, fallait le temps de pouvoir le récupérer comme il se doit - j'ai pu tester l'une d'entre elles depuis plus de un mois. 



J'ai donc jeté mon dévolu sur l'ampoule C pour ses problématiques : lors du confinement, j'ai trouvé que ma peau était en manque d'éclat. C'est donc naturellement que je vais donner plus de détails sur cette dernière et pas sur les autres car vous me connaissez, pas de revue sans avoir testé le produit sur au moins un mois !

20% de Vitamine C optimisée pour une peau éclatante ! Ce sérum ultra-concentré en vitamine C optimisée recharge immédiatement la peau pour révéler l’éclat du teint et réduire les signes de fatigue. Jour après jour, la peau est en pleine forme : tonique, lumineuse et uniforme J ! Et ça c’est  bon pour le moral !




Pour ces super sérums, un packaging en verre est de mise pour son aspect qualitatif, mais pas pour une fille dotée de 2 mains gauches comme moi. En verre transparent pour A et B3, en verre de couleur bronze pour C histoire de rappeler le côté vitaminé et donc orangé de la vitamine C, ingrédient phare de cette ampoule, mais aussi pour éviter que la vitamine C se dégrade trop vite au contact de la lumière car ce dernier s'oxyde vite et perd donc son efficacité. De ce fait, je stocke le flacon dans un tiroir fermé pour le mettre à l'abri de la lumière afin de le préserver au maximum.



Chaque flacon de 30 ml chacun est doté d'une pipette à visser. Et à ma grande surprise, je n'ai pas de mal à l'utiliser car tout comme les emballages en verre, les pipettes sont ma bête noire : soit elles délivrent trop de produits soit pas du tout, même en pressant comme une malade sur l'embout en plastique.

La texture est très légère et ne colle pas trop sur la peau. Cette dernière l'absorbe assez vite à mon grand étonnement. Vantée comme une formule concentrée, je m'attendais à une texture plus épaisse et assez difficile à utiliser. Mention spéciale pour son odeur fraîche. Je l'utilise le jour juste avant ma crème en guise de sérum une fois sur 2 car depuis le confinement, ma routine soin s'est réduite. Il y a même des jours où je ne porte ni crème de jour ni sérum, rien de rien.



La vitamine C est un actif dont je suis vraiment fan car elle donne un coup de boost quasi instantané à la peau. Et sur la longueur, les effets sur la peau se font ressentir : une peau au traits moins tirés, plus lumineuse. Cette cure d'un mois a été bénéfique pour ma peau - oui car je compte les utiliser en cure sur un ou deux mois et pas jusqu'à la dernière goutte en continu - et je vais garder précieusement ce flacon pour une nouvelle cure à faire en automne je pense.

Gros coup de cœur pour l'ampoule C de SVR qui m'a grandement donnée envie de tester les autres super sérums de la gamme. 
A voir en temps et en heure en fonction des saisons et des caprices de ma peau ;-).

Ampoule A (Lift) - 34,90 € les 30 ml
Ampoule B3 (Hydra) - 31,90 € les 30 ml
Ampoule C (Anti-Ox) - 34,90 € les 30 ml

En vente sur le site officiel de la marque, en pharmacie et parapharmacie.


*Produit offert par la marque, le revendeur, l'agence RP pour considération



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