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En une semaine, les 4 premières saisons étaient bouclées tellement le format de 20 minutes permet d’enchaîner plusieurs épisodes à la suite et tant on se laisse emporter par le rythme entraînant de la série. Il n’y a pas un seul épisode qui ne m’a pas fait rire. Faut dire que le casting haut en couleurs et plein d’humour favorisent la chose, si bien que petit à petit, on s’attache à tous ces personnages atypiques. Même si les enquêtes restent essentielles à toute série policière qui se respecte, ce qui est très intéressant, c’est la place qu’occupe la vie personnelle de chaque personnage, que je trouve plus importantes que les séries policières habituelles.
Brooklyn Nine Nine : les flics les plus cool de New York
Même si j’aime beaucoup les
séries comiques, j’apprécie beaucoup également les séries policières.
Cependant, même si je prends plaisir à suivre les enquêtes à chaque épisode et
que le fil conducteur est fort intéressant – comme ce fut le cas pour The
Mentalist avec John Le Rouge en
fil conducteur - j’ai tendance à me lasser assez vite par rapport au
concept car trop sérieux à mon goût, bien que j’aie pu noter quelques notes
humoristiques avec NCIS et la
relation Gibs/Di Nozzo.
A la recherche d’une série
policière aux allures comiques, je suis tombée sur Brooklyn Nine Nine en
surfant sur Netflix. Et je peux vous
dire que le coup de cœur a été instantantée, si bien que j’ai fini les 4 premières saisons disponibles sur Netflix en 1
semaine et il y a quelques semaines à peine la 5ème saison en 2 jours – ah le retour du fameux binge-watching !
Brooklyn Nine Nine raconte la vie d'un
commissariat de police dans le quartier de Brooklyn à New York.
À l'image du slogan de la
série, « Brooklyn Nine-Nine: the Law without the
Order » (« Brooklyn NineNine : la loi sans l'ordre », une
satire de Law and Order), les divers personnages le
composant sont dotés de caractères très marqués voire extravagants, mettant
ainsi à mal l'harmonie dans les bureaux.
L'arrivée d'un nouveau capitaine,
froid et strict, ne fait que renforcer cette attitude.
Source : wikipedia
En une semaine, les 4 premières saisons étaient bouclées tellement le format de 20 minutes permet d’enchaîner plusieurs épisodes à la suite et tant on se laisse emporter par le rythme entraînant de la série. Il n’y a pas un seul épisode qui ne m’a pas fait rire. Faut dire que le casting haut en couleurs et plein d’humour favorisent la chose, si bien que petit à petit, on s’attache à tous ces personnages atypiques. Même si les enquêtes restent essentielles à toute série policière qui se respecte, ce qui est très intéressant, c’est la place qu’occupe la vie personnelle de chaque personnage, que je trouve plus importantes que les séries policières habituelles.
Chose assez rare : c’est
la 1ère fois que tous les personnages me plaisent, dont quelques-uns
que j’aime beaucoup détester, car chacun a une attitude singulière et un
caractère qui leur est propre. La magie opère avec chacun d’entre eux.
Andy Samberg aka Détective Jacob « Jake » Peralta : personnage principal de la
série, Jake incarne le stéréotype du flic compétiteur et blagueur qui passe son
temps à chambrer ses collègues tout en ayant un talent hors pair pour résoudre
les enquêtes. Un personnage que j’aime beaucoup pour son humour potache et qui
me fait mourir de rire.
Stéphanie Beatriz aka Détective Rosa Diaz : je ne pensais pas m’attacher
au personnage de Rosa, et pourtant
ce n’était pas gagné : elle ne rigole pas, ne sourit jamais, s’habille
tout le temps en noir et a un humour sarcastique. Et je vous avouerai que c’est
cela qui fait tout son charme, tout comme son côté badass qui impose grave car
elle n’a pas froid aux yeux face aux criminels.
Terry
Crews aka Sergent Terry Jeffords : derrière
ce grand monsieur très baraqué se cache un petit cœur sensible. Adepte de la
musculation à haute dose, c’est quelqu’un que je trouve très touchant d’une
sensibilité débordante, notamment quand il parle de sa famille et particulièrement
de ses jumelles aux prénoms assez drôles et qui est un clin d’œil à une autre
série policière. Un gros nounours quoi !
Chelsea
Peretti aka Gina Linetti : assistante
du Capitaine Raymond Holt, Gina est le personnage le plus nombriliste de la bande : H24 avec son téléphone portable, je la trouve
hilarante car ses répliques sont dignes des plus grandes punchlines de
rappeurs. Un personnage que je trouve complètement perchée mais absolument
génial !
Andre Braughter aka Capitaine
Raymond Holt : fraîchement
débarqué au 1er épisode, Le Capitaine Holt a la charge de mener à la
baguette ce commissariat digne d’une maison de fous. Une lourde tache pour ce
personnage totalement inexpressif, insensible et très pointilleux et très
cultivé. Au fil des épisodes, on constate qu’un lien se crée entre lui et son
équipe
Joe Lo
Truglio aka Détective Charles Boyle : un
personnage bizarre que j’ai eu du mal à cerner et dont j’ai eu du mal à m’attacher.
Bizarre, à l’humour décalé. Mais avec Jake,
dont l’amitié est très importante, ils
forment un duo de choc hautement comique.
Melissa
Fumero aka Détective Amy Santiago : voici
le personnage que j’aime le moins de la série : aux allures de 1ère
de la classe et obsédée par l’ordre, elle est en admiration devant le Capitaine Holt et n’hésite pas à lui
lécher les bottes pour attirer son attention.
Même s’ils
n’ont qu’un rôle secondaire, j’aime beaucoup le duo formé par Hitchcock et
Scully.
Si vous aimez les enquêtes policières, mais sous un fond farfelu et
complètement absurde, Brooklyn Nine Nine est faite pour vous. Il ne se passe
pas un seul épisode où on ne rit pas aux éclats tout en se passionnant pour la
vie de ce commissariat hors norme aux allures de Police Academy. Une série parfaite
pour se détendre et bien rigoler. Heureusement, la série a été renouvelée pour
une 6ème saison in-extremis : lâchée par la FOX elle a été
récupérée par la NBC.
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